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lunes, 2 de diciembre de 2013

VACUNA DEL PAPILOMA: CAUSARIA GRAVES DAÑOS EN EL SISTEMA INMUNE

La prensa francesa publica estos días que la Comisión Regional de Indemnizaciones de Accidentes Médicos de Aquitania (Francia) ha reconocido la relación de causalidad de la vacuna del papiloma con daños en el sistema inmune de una chica de 15 años.


Así lo hace Le Point, L’Usine Nouvelle y Le Parisien. De ser así, dicha institución se convierte en la primera de Europa en hacer oficiales los daños de esta vacuna (ya conocidos, por otra parte). La citada Comisión, estaría fomentando así el derecho de la joven y su familia a percibir una indemnización por los perjuicios recibidos. También se publica que el abogado de la familia ha interpuesto una demanda por ello.

Lo que en teoría reconoce la Administración pública francesa, según amplía el periódico on line en castellano La Celosía, es el nexo de causalidad entre la inyección a una joven de 15 años de la vacuna Gardasil, fabricada por la entente comercial Sanofi Pasteur Merck, Sharp and Dohme (MSD) y una reacción desinflamación aguda del sistema nervioso.

Una segunda inyección (la vacuna consta de tres pinchazos) provocó el desequilibrio del sistema inmunológico. La Comisión de Indemnizaciones habría abierto el camino para que Sanofi Pasteur MSD tuviera que pagar una indemnización, aunque esto está por ver (lo mismo tras el largo proceso que espera a los agentes implicados se demuestra que no).

La chica, aparte de la encefalomielitis aguda, ha atravesado fases de ceguera, parálisis facial y se encuentra desde hace meses parapléjica. Se está apuntando al aluminio, adyuvante utilizado en la vacuna para potenciar la respuesta inmunitaria como uno de los causantes de los daños que sufre la afectada.

Esta primera demanda, el abogado de la chica la pone al laboratorio y la Agencia Francesa de Medicamentos. No sabemos si serán oleadas, tsunamis o simples mareas pero comenta la prensa francesa que hay unas veinte demandas más en preparación.

Como explica La Celosía, en diciembre próximo el Bufete Almodóvar & Jara presentará las primeras demandas en España y con seguridad en sucesivos meses habrán más.

Fuente: http://www.laverdadoculta.com.ar/2013/11/un-tribunal-medico-de-francia-reconoce.html#cJM6Cuo0FtkYNJda
http://www.lepoint.fr/sante/plainte-contre-le-vaccin-anticancer-de-l-uterus-gardasil-24-11-2013-1761273_40.php

http://www.usinenouvelle.com/article/le-vaccin-gardasil-de-sanofi-pasteur-vise-par-une-plainte.N220688

http://www.leparisien.fr/laparisienne/sante/cancer-du-col-de-l-uterus-une-plainte-deposee-contre-le-vaccin-gardasil-24-11-2013-3345015.php

http://www.oniam.fr/crci/votre-commission-regionale/aquitaine/


Une plainte a été déposée le 22 novembre contre Sanofi Pasteur et l’Agence nationale de sécurité des médicaments. Le vaccin contre le cancer de l’utérus, le Gardasil de Sanofi Pasteur, est soupçonné de graves effets secondaires. D’autres victimes présumées pourraient déposer plainte dans les prochaines semaines.

 Le vaccin Gardasil provoque-t-il de graves effets secondaires ? Une jeune Aquitaine, âgée aujourd’hui de 18 ans, se dit victime du produit de Merck commercialisé par Sanofi Pasteur. Après deux injections du vaccin fin 2010, l’adolescente aurait connu plusieurs accidents inflammatoires du système nerveux, imputables selon sa famille au vaccin. La CRCI (Commission régionale de conciliation et d'indemnisation des accidents médicaux) a d’ailleurs retenu une imputabilité de la pathologie à la vaccination à hauteur de 50%.

 Le 22 novembre, l’avocat de la jeune fille déposé une plainte auprès du parquet du tribunal de Bobigny (Seine-Saint-Denis) pour "atteinte involontaire à l'intégrité de la personne humaine". D’autres victimes présumées, un peu partout en France, pourraient en faire de même dans les prochains jours.

sanofi dément tout lien de cause à effet

 Sanofi Pasteur a réagi le 24 novembre. Dans le cas de la jeune fille aquitaine,le laboratoire "conteste" les conclusions de la CRCI qu'il estime "en contradiction avec les données de la littérature scientifique et les avis des autorités de santé nationales et internationales". "Les études conduites en France et dans le monde pour évaluer l'association éventuelle entre la vaccination anti-HPV (papillomavirus humain) et la survenue de cas de sclérose en plaques n'indiquent aucune augmentation du risque d'apparition de cette maladie", affirme le laboratoire pharmaceutique dans son communiqué cité par l’AFP.

 Selon Sanofi Pasteur MSD, plus de 136 millions de doses de Gardasil ont été distribuées dans le monde depuis son lancement en juin 2006. Le vaccin est recommandé par l'OMS, les autorités sanitaires américaines (FDA), l'Agence européenne du médicament et le Haut Conseil de la santé publique en France, rappelle le laboratoire. Sanofi Pasteur MSD est une société commune entre Sanofi Pasteur (division vaccins de Sanofi) et le groupe américain Merck.

Une nouvelle affaire sanitaire pourrait faire l'objet d'une enquête pénale avec le dépôt d'une plainte par une jeune femme de 18 ans visant le Gardasil (Sanofi Pasteur MSD) et l'Agence du médicament, accusant ce vaccin contre le cancer du col de l?utérus de graves effets secondaires sur le système nerveux central.
Marie-Océane a été vaccinée au Gardasil à 15 ans, comme quelque 2,3 millions d'adolescentes françaises ainsi traitées préventivement contre ce cancer touchant près de 3.
 000 personnes annuellement.
La première injection, détaille son avocat Me Jean-Christophe Coubris dans un communiqué, a été reçue par la jeune landaise le 11 octobre 2010, puis une deuxième le 13 décembre. Une vaccination intervenue selon lui après un véritable "tapage médiatique", visant parfois à "culpabiliser" les parents pour qu'ils choisissent ce traitement.
Mi-février 2011, des signes cliniques sont apparu, des vertiges et vomissements ayant conduit à son hospitalisation à Dax (Landes), puis en urgence au CHU de Bordeaux, après avoir souffert de pertes momentanées de la vue, de la marche et d'une paralysie faciale.
Selon Me Jean-Christophe Coubris, "le diagnostic d'encéphalomyélite aigüe disséminée (une inflammation du système nerveux central, ndlr) ou de sclérose en plaques a été rapidement posé".
Son état s'est stabilisé en août 2012, mais la jeune fille est souvent fatiguée ce qui gêne sa scolarité, explique encore l'avocat bordelais - déjà en lutte par ailleurs contre l'antidiabétique Mediator et les pilules de 3ème et 4ème génération - qui souligne aussi que Marie-Océane vit désormais "avec l'angoisse constante d'une poussée de sa maladie".
Elle a donc déposé vendredi une plainte pénale, auprès du parquet du tribunal de Bobigny (Seine-Saint-Denis), dont dépend le siège de Sanofi pour "atteinte involontaire à l'intégrité de la personne humaine". La plainte révélée par Sud Ouest et le Journal du Dimanche (JDD) vise le labo, mais aussi l'Agence nationale du médicament (ANSM), et estime qu'il y a eu "violation d'une obligation manifeste de sécurité et méconnaissance des principes de précaution et prévention".
La jeune fille peut s'appuyer sur une double expertise commandée par la Commission régionale de conciliation et d'indemnisation des accidents médicaux (CRCI) d'Aquitaine, qui a conclu à un "lien de causalité" entre l'injection de Gardasil et une "réaction inflammatoire aiguë du système nerveux central", qui après la deuxième injection a "décompensé un processus immunitaire", selon Sud Ouest.
La commission a cependant limité l'indemnisation de Marie-Océane à 50% du préjudice, estimant qu'une éventuelle vulnérabilité génétique avait aussi pu jouer.
Coïncidence ou lien de causalité ?
Sanofi Pasteur MSD a confirmé dimanche la conclusion, mais la conteste. Selon le laboratoire, elle s'appuie "uniquement sur la constatation d'une coïncidence temporelle entre la survenue et les symptômes de la maladie et de la vaccination", sans prouver le lien de causalité.
Pour mettre en cause le vaccin, "il faut regarder si la maladie est plus fréquente chez un groupe de jeunes filles vaccinées que sur un groupe de jeunes filles non vaccinées", a déclaré à l'AFP André Dahlab, directeur adjoint des affaires médicales chez Sanofi Pasteur MSD, or aucune étude n'a jamais établi "d'incidence supérieure", assure-t-il en défendant la thèse de la "coïncidence".
L'utilité du vaccin contre le cancer du col de l'utérus fait débat en France, où des patientes ont déjà saisi des commissions régionales d'indemnisation des accidents médicaux, pour des effets secondaires liés selon elles au Gardasil, lancé en 2006.
Au-delà du Gardasil, note l'avocat, "il y a de plus en plus conscience au sein du corps médical de la dangerosité d'un adjuvant (booster) présent dans presque tous les vaccins (y compris le Gardasil), le sel d'aluminium".
"Ce que Marie-Océane recherche par ce dépôt de plainte c'est une information: que chaque patient qui veut se vacciner ait conscience des risques", dit-il.
De son côté Sanofi Pasteur MSD a regretté dimanche "le discrédit" ainsi jeté sur le vaccin et la "perte de chance" que cela pourrait supposer pour les jeunes filles.
Selon l'InVS (Institut national de veille sanitaire), moins d'un tiers des adolescentes françaises étaient en 2011 vaccinées contre le cancer du col de l'utérus, le 12e cancer le plus fréquent chez les femmes.



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